Mon disque dur s est plante aujourd ui. Ecrit sur clavier anglais arhhhhhhg!!!!! Pas d accent!
N ecrirai pas pour quelques jours... Vous me manquez deja amis bloggeurs. Plus sur mon autre blog. Bye
My hardware drive is dead on my desktop. No accents on this PC Argggh! Will not write for a few days. I miss you already my blogger friends. More on my other blog. Bye
vendredi, octobre 28, 2005
mercredi, octobre 26, 2005
EN FRANÇAIS & IN ENGLISH!
From Hallmarks of Felinity
Je sais que plusieurs de mes lecteurs ne parlent pas le français et se demandent bien ce que je raconte... J'ai donc décidé qu'à partir de maintenant, mon blog de chats serait bilingue.
I know that many of my bloggersfriends don't speak French. They sometimes ask me what is that story I'm telling. So, from now on, this blogcat (and dogs and birds, etc) will be bilingual!.
CHABSTRAIT- CAT-ABSTRACTION.
samedi, octobre 22, 2005
C'EST PAS MOI !!!!!
mercredi, octobre 19, 2005
LES BIENFAITEURS DES CHATS
Pour avoir un monde meilleur, il faut s'occuper des gens. Mais je crois qu'il faut aussi s'occuper des animaux! Depuis longtemps, des associations recueillent et soignent nos animaux de compagnie, et ce, bénévolement. Je pense d'abord bien sur à la Société protectrice des animaux qui existe depuis très longtemps dans plusieurs pays. Je pense également à "Chats sans abris", qui recueille à Québec et dans sa région les chats abandonnés. Les bénévoles de l'association s'occupent de ces chats et leur trouvent des familles. Allez voir leur site, cela vaut la peine. Mais il ne faut pas oublier tous les gens qui s'occupent des chiens et des chats errants. Deux exemples me viennent en tête. Il y a d'abord ce groupe d'enseignants et de travailleurs scolaires de la région de Montréal (une dame en particulier) qui nourissent les chats errants sur les terrains de leur collège. Je me souviens aussi d'une très vieille dame que j'avais vue au cimetière du Père-Lachaise, à Paris, qui venait tous les jours nourrir les chats abandonnés vivant sur le site. Je n'ai jamais osé la photographier, car elle ne semblait pas très sociable, mais j'ai pris de belle photos des chats se prélassant sur les tombes. Toutes ces personnes contribuent à leur manière à rendre ce terrible monde un peu plus vivable.
LES AUTRES CHATS DE MEI
Pour les amoureux des animaux, voici quelques chats (et même un chien) qui ont partagé la vie de ma copine de blog, Mei Shile
Ti-Paul chaton. Photo Mei Shile
Citrouille Photo Mei Shile
Oscar Photo Mei Shile
Tatiana dans les bras du petit frère. Photo Mei Shile
Ti-Paul chaton. Photo Mei Shile
Citrouille Photo Mei Shile
Oscar Photo Mei Shile
Tatiana dans les bras du petit frère. Photo Mei Shile
samedi, octobre 15, 2005
LIMETTE
Coucounette voulait un petit ami. J'ai donc adopté Limette. Vous pouvez le faire manger en cliquand sur la boîte de biscuits pour chien. Mais pas trop. Je ne veux pas qu'il devienne gras... LOL. :o)
vendredi, octobre 14, 2005
ALPHONSE.
Alphonse a disparu depuis dimanche dernier, le 9 octobre. Ça me rend toute triste de savoir que mon amie blogueuse Mei a perdu le gentil minou avec qui elle vivait depuis 8 ans. J'espère qu'elle va le retrouver. Sinon, j'espère qu'Alphonse s'est trouvé une bonne famille où il sera heureux. Voici deux photos du beau Alphonse.
ALPHONSE, PHOTO DE MEI SHILE.
ALPHONSE ET CHLOÉ, PHOTO DE MEI SHILE.
dimanche, octobre 09, 2005
MON VIEUX CHIEN
Ni ma mère ni moi n'avons jamais su pourquoi mon père était un jour arrivé à la maison avec ce vieux chien coley. Maman m'a un jour dit, après la mort de papa, qu'elle pensait que les propriétaires du chien devaient de l'argent à mon père et l'avaient payé en nous donnant ce chien. Mon père conduisait parfois ses affaires d'une drôle de façon. Au grand dam de ma mère. Quoi qu'il en soit, le chien atterrit un jour chez nous. Ma mère était découragée. Nourrir une famille de trois enfants avec le petit salaire de mon père n'était pas une mince affaire. Ajouter un chien, ce n'était vraiment pas une bonne idée. Malgré cela, le chien demeura avec nous. Nous lui trouvâmes un nom original: Coley. Maman se faisait donner des os par son boucher et achetait de temps en temps des sortes de galettes totalement dégeulasses que le pauvre animal engloutissait en quelques secondes. Pourtant, Dieu que nous aimions ce chien. Malgré ses tares... Il se sauvait souvent, jappait arpès les camions et avait fait derrière la maison ce que nous appelions son "cimetière de crottes". Un été, nous sommes partis en voyage toute la famille faire le tour de la Gaspésie. Nous avons laissé Coley en pension. À notre retour, il était parti. Nous n'avons jamais su s'il était mort d'ennui. Peut-être s'était-il laissé mourrir de faim en croyant que nous l'avions abandonné. Ou peut-être est-il tout simplement mort de vieillesse. Mais je garde dans mon coeur une place toute spéciale pour ce vieux chien fidèle qui était très tolérant et se laissait mener par trois enfants turbulents. Tolérant, sauf envers les camions...
jeudi, octobre 06, 2005
LES AUTRES: LA VIEILLE FINE. 1
Ceci est une histoire vraie. Elle a été racontée par ma mère dans un petit livre qu'elle a écrit et illustré pour ma nièce Geneviève. Toutes, nous avons pleuré en lisant ce beau texte. Mais je laisse la parole à ma maman. Les faits racontés se passent en 1934.
"Parfois, l'hiver, quand le temps était trop maussade et que la neige et le vent effaçaient le chemin de terre, mon père attelait notre vieille Fine à la carriole et venait nous chercher à l'école. C'était alors un plaisir de faire une promenade en traîneau, bien enfouis sous les couvertures de fourrure, bercés par le pas lent, régulier et sûr de notre belle jument rose. Non, Fine n'était pas vraiment rose. Mais comme beaucoup de chevaux descendants de la race percheronne, elle avait un joli poil beige pâle (on dit une robe), une lourde crinière et une longue queue d'un beau blond doré.
Fine est morte tragiquement un jour d'été alors qu'elle broutait en plein champ avec son inséparable compagnon Jo le bronco noir. Ils furent tous deux frappés par la foudre durant un terrible orage: mon père n'avait pas eu le temps d'aller les chercher pour les mettre à l'abri dans l'écurie. Quand papa nous apprit que Fine était morte, j'eus beaucoup de chagrin et je pleurai longtemps. J'avais neuf ans alors. Puis après quelques semaines je me consolai en pensant que ma Fine était enfin libérée des durs travaux de la ferme comme tirer la charrue pour les labours, ou traîner les lourdes charretées de gerbes d'avoine, et qu'elle vivait maintenant pour l'éternité, heureuse dans des pâturages toujours tendres et verts, et que dans la grande lumière d'or du paradis elle était plus belle encore et vraiment rose."
Dessin et texte: Jeanne Larouche Villeneuve
"Parfois, l'hiver, quand le temps était trop maussade et que la neige et le vent effaçaient le chemin de terre, mon père attelait notre vieille Fine à la carriole et venait nous chercher à l'école. C'était alors un plaisir de faire une promenade en traîneau, bien enfouis sous les couvertures de fourrure, bercés par le pas lent, régulier et sûr de notre belle jument rose. Non, Fine n'était pas vraiment rose. Mais comme beaucoup de chevaux descendants de la race percheronne, elle avait un joli poil beige pâle (on dit une robe), une lourde crinière et une longue queue d'un beau blond doré.
Fine est morte tragiquement un jour d'été alors qu'elle broutait en plein champ avec son inséparable compagnon Jo le bronco noir. Ils furent tous deux frappés par la foudre durant un terrible orage: mon père n'avait pas eu le temps d'aller les chercher pour les mettre à l'abri dans l'écurie. Quand papa nous apprit que Fine était morte, j'eus beaucoup de chagrin et je pleurai longtemps. J'avais neuf ans alors. Puis après quelques semaines je me consolai en pensant que ma Fine était enfin libérée des durs travaux de la ferme comme tirer la charrue pour les labours, ou traîner les lourdes charretées de gerbes d'avoine, et qu'elle vivait maintenant pour l'éternité, heureuse dans des pâturages toujours tendres et verts, et que dans la grande lumière d'or du paradis elle était plus belle encore et vraiment rose."
Dessin et texte: Jeanne Larouche Villeneuve
mercredi, octobre 05, 2005
LES AUTRES: LE CHIEN DE MON FRÈRE.
LES AUTRES: LES PERRUCHES DE MA SOEUR
Picou fut la première perruche de Clo. A l'époque, son mari était encore vivant et une connaissance de la famille leur avait donné l'oiseau. C'était avant la naissance de Gene. Picou devait son nom au fait qu'il piquait les doigts avec son bec dès qu'on approchait la main. Il était à la fois peureux et téméraire. Picou a vécu très longtemps pour un oiseau. Un matin, Clo a entendu quelques mouvements brusques dans la cage. Picou est sans doute mort d'une mini crise cardiaque... Il n'y a pas eu d'autopsie.
Geneviève voulait un chat. Pas question!!!! a répondu Clo. Neige fut le compromis... Petite perruche très peureuse, Neige n'ose pas sortir de sa cage même si elle vit avec ma soeur et sa fille depuis bientôt 3 ans. Elle est timide, mais tellement jolie!
lundi, octobre 03, 2005
LES AUTRES... SNOOPIE.
S'abonner à :
Messages (Atom)